Etonnamment, il s'agira de la course la plus proche de chez moi cette année : 370 km tout de même.
La ville est agréable, la plupart du temps très fréquentée à cette époque de l'année.
La Roche, on connait bien. Une course super-rapide, disputée tous les 2 ans (les années paires), certainement le temps nécessaire pour oublier d'éventuelles frayeurs et oser s'y relancer! Un seul freinage, environ 100 km/h en vitesse de pointe et quelques bas-côtés par très accueillants sont les principales caractéristiques de cette grande classique du calendrier.
Le départ n'est pas très pentu et mène gentiment à une première courbe à gauche qui passe à fond. A la sortie, on pénètre immédiatement dans la forêt et s'ensuit une succession de courbes rapides et de lignes droites jusqu'au changement de revêtement : on passe d'un bitume classique à des plaques de béton dont l'adhérence, en tout cas par temps sec, est plutôt bonne. Heureusement, car on arrive quelques centaines de mètres plus loin sur le seul freinage qui est atteint à plus ou moins 100 km/h en C4. Cette courbe à gauche, dite "de la buvette", est assez large et laisse un petite marge en cas d'erreur de pilotage. Une légère courbe à gauche mène enfin sur le dernier virage à droite, totalement en aveugle, mais qui se négocie sans freiner à condition d'emprunter la bonne trajectoire. Disons, qu'il suffit de s'en convaincre, et ça passe...l'arrivée étant située immédiatement après.
Bref, une belle course, où on a les jambes qui tremblent en sortant de la caisse!
Nice blog Guillaume!
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